Femmes, Net Art et Hacktivisme – conférence (Semaine d’étude Vie Féminine 2014)

Dans le cadre de la “Semaine d’étude Vie Féminine 2014” organisée par l’association “Vie Feminine”, je donnerais une conférence qui introduira les notions de Netart, de hacking et d’activisme sur/via Internet, que l’on appelle généralement hacktivisme. Si dans l’esprit des hackers, on ne juge une personne ni sur sa condition, son apparence ou sa fortune… mais simplement sur ses capacités et ses réalisations, il y a encore peu de femmes dans ce milieu. Malgré tout, avec l’expansion d’Internet et des réseaux sociaux, elles sont de plus en plus nombreuses à faire entendre leurs voix. Des voix évidemment tintées de féminisme (parfois réinventé), qu’elles revendiquent haut et fort, mais pas seulement. Si cette conférence abordera bien entendu le monde de l’e-feminisne, elle essaiera surtout de présenter cet espace qu’est l’Internet aujourd’hui, comme outil possible pour agir sur le monde qui nous entoure et/ou le réinventer.

Support de conférence et collection de liens Web

Plzen, seconde Capitale européenne de la culture 2015

Transcultures, en tant que partenaire de Mons2015, est invité pour quelques jours dans l’autre future Capitale européenne de la culture 2015. Philippe Franck et moi-même nous nous rendrons donc sur place afin de découvrir une série de partenaires potentiels, mettre en place une série de workshops/conférences “City Sonic” et voir d’éventuelle collaboration dans le champs des arts numériques.

Bains numériques #8 – Rencontres professionnelles

Le Centre des Arts d’Enghien, organisateur du festival Bains numériques a invité Transcultures et des représentants de Mons 2015 (Mauro Del Borrello administrateur général du manège.mons et de Mons2015, Pascal Keiser, directeur artistique programme numérique Mons2015-directeur de TechnocITé ) et de la Ville de Mons (Joelle Kakompole, échevine de la culture) à participer aux Rencontres professionnelles. Celles-ci interrogent le rôle de la création numérique dans la fabrique de la ville de demain. Marquée par la rapidité des flux et des échanges et par des transformations qui affectent à la fois le cadre et la qualité de vie des citoyens, la ville d’aujourd’hui connecte autant qu’elle sépare. L’évolution des modes de vie urbains favorise de plus en plus l’individualisme et une approche consumériste des espaces publics. Face à ces mutations, la création numérique apparait comme un enjeu central de développement des territoires, en encourageant le partage d’expériences collectives et la matérialisation de nouveaux espaces sociaux. Élus, directeurs d’établissements culturels, artistes, designers, sociologues, architectes, urbanistes et entrepreneurs d’Europe et d’Asie sont invités à débattre de la question suivante : en quoi l’art numérique offre-t-il la possibilité d’imaginer un terrain collectif de pratiques qui facilite l’émergence de nouveaux espaces de discussions, d’échanges et de rencontres ?

En complément des tables-rondes, un showroom organisé en partenariat avec l’Agence Régionale de Développement, le Comité d’Expansion Economique du Val d’Oise, l’Université de Cergy-Pontoise, l’ENSEA et le Festival Futur en Seine, présentera tout au long de ces deux journées des innovations d’entreprises en lien avec les thématiques développées. Un espace matchmaking sera également réservé l’après-midi du 18 juin à des rendez-vous d’affaires entre entreprises françaises et israéliennes du secteur de la création numérique, ainsi qu’à des rencontres entre membres du Réseau Arts Numériques (RAN), programmateurs internationaux et artistes du festival.

  • 17 juin – 9h-12h30 – table ronde la création numérique au cœur de l’espace public (avec la participation, entre autres, de Mauro Del Borrello, Pascal Keiser et Joelle Kakompole)
  • 17 juin – 14h-16h30 – table ronde les gares créatives (avec la participation, entre autres, de Joelle Kakompole)
  • 18 juin – 9h-12h30 – table ronde les enjeux éducatifs des villes créatives (avec la participation, entre autres invités, de Philippe Franck)

Egalement aux Bains numériques, Fragments #43-44 de Gauthier Keyaerts mené en collaboration avec François Zajéga (pour la supervision de l’aspect visuel et data mapping), Yacine Sebti (pour le montage sonore) et l’Institut de recherche numediart (pour la reconnaissance de geste) est en compétition officielle. Cette installation/performance AV interactive (co-production Transcultures, numediart avec le soutien du Ministère de la Culture de la Fédération Wallonie-arts numériques) repose à la fois sur la technologie, l’instinct et l’improvisation.

FabLab Mons – Conférence de presse à l’UMons

Le « FabLab Mons » regroupe 6 partenaires fondateurs (l’Université de Mons, l’ASBL Progress – La Maison du Design, l’Ecole Supérieure des Arts – ARTS2, la Haute école en Hainaut – HEH, l’ASBL Transcultures et l’ASBL Technocité) et 3 partenaires institutionnels (la Ville de Mons, la Fondation Mons 2015 et Le Mundaneum).

La particularité du FabLab montois, initié au sein de l’Université de Mons, est d’être porté par une diversité d’acteurs dont les besoins sont finalement très complémentaires. Le « FabLab Mons » est avant tout orienté grand public, formation et recherche.

Pour cette conférence de presse, je présenterais le rôle de Transcultures dans ce nouveau projet.

voir : Mons : Création du FabLab de Mons, un reportage de TéléMB

Transcultures entretient,depuis plusieurs années, des partenariats réguliers avec Numediart et une collaboration forte avec Art² (organisation de workshops à Art², diffusion de travaux d’étudiants dans le cadre de City Sonic ou Les Transnumériques), ayant un rôle complémentaire dans le processus de création et de diffusion. L’intégration du FabLab est une suite logique de ces échanges et l’occasion de mettre en place un lieu partagé où la mutualisation des connaissances et compétences déjà existante trouvera une place à part entière.

Transcultures, centre interdisciplinaire promeut les cultures numériques et sonores au travers du festival international des arts sonores City Sonic, de la biennale Les Transnumériques et en s’intégrant dans différents réseaux de réflexion sur ces pratiques (projets européens et transatlantiques). A la croisée des enjeux artistiques, technologiques et sociétaux, Transcultures organise des résidences d’artistes et des workshops intégrant l’utilisation des outils numériques et associe artistes et chercheurs, en complicité avec Numediart. La sensibilisation des publics aux pratiques artistiques numériques et sonores tient un rôle majeur au sein de la structure, depuis 5 ans, une sensibilisation accrue est réalisée auprès du jeune public afin de familiariser les enfants à une pratique conscientisée du numérique à travers des ateliers ludiques.