Transnumériques #7 – Digital Icons 2020
20 February 2020
Transnumériques – plate-forme pour les cultures et émergences (post)numériques
Depuis son lancement par Transcultur, en 2005 à Bruxelles et à Mons (et par la suite dans d’autres villes en Fédération Wallonie-Bruxelles, parfois avec des déclinaisons en France), Transnumériques a oeuvré, sous forme de festival d’abord annuel puis biennale, pour l’introduction des arts numériques (et bien souvent pour la première fois) dans des lieux ou des manifestations dont ça n’était pas l’objet premier, leur permettant de se connecter, ainsi que leurs publics, avec ses nouvelles pratiques et de renforcer les transversalités et connectivités transculturelles.
La biennale Transnumériques #7 comprend une exposition thématique –Digital Icons- mais aussi, selon les opportunités et les contextes, des résidences, des workshops, des conférences/rencontres, des ateliers (pour différents publics donc les plus jeunes avec les Digital Kids) des Transdémos (présentation d’oeuvres in progress avec un retour direct aux concepteurs du public et des professionnels) ou, d’autres activités susceptibles de réunir, dans l’esprit fédérateur qui anime Transcultures, divers partenaires culturels mais aussi scientifiques, sociaux, pédagogiques…des communautés, des individualités et des singularités tout en provoquant une vraie rencontre avec les créateurs/concepteurs soutenus qui bénéficient d’un éclairage qualitatif et peuvent éventuellement, également dans un souci d’accompagnement à la diffusion des projets, trouver d’autres opportunités de développement en Belgique et à l’international.
Ces septièmes Transnumériques cette fois hennuyères s’interrogent -notamment via des modes de réappropriations artistiques et de détournements poétiques- sur ces images numériques aujourd’hui proliférantes, qui sont devenues, via nos petits et grands écrans prothèses, notre environnement quotidien et qui nourrissent -ou, c’est selon, colonisent – nos paysages mentaux.
Exposition/Exhibition > art2.network (FR/BE) | Stephan Balleux (BE) | Lucas Bambozzi (BR) | Christophe Bruno (FR) | Damien Bourniquel (FR) | Gregory Chatonsky (FR) | Régis Cotentin (FR) | Alexandra Dementieva (RU/BE) | Jacques Donguy (Fr) | R. Luke DuBois (EU) | Francesc Martí (ES/GB) | Kika Nicolela (BR) | Laure Prouvost (FR) | Stéphanie Roland (Be) | Filip Sterckx (BE) | Alain Wergifosse (BE)…
Curators/Curateurs > Philippe Franck + Jacques Urbanska (BE)
Transnumeriques – platform for (post)digital cultures and emergences
Since its launch by Transcultures, in 2005 in Brussels and Mons (and subsequently in other cities in the Federation Wallonia-Brussels, sometimes with variations in France), Transnumériques has worked, first as a festival then as a biennial, for the introduction of digital arts (and very often for the first time) in places or events of which it was not the primary object, allowing them to connect, as well as their audiences, with its new practices and to reinforce cross-cultural transversalities and connectivities.
This 7th edition of Transnumeriques includes a thematic exhibition – ‘Digital Icons’ – but also, depending on the opportunities and contexts, residences, workshops, conferences / meetings, workshops (for different audiences, therefore the youngest with ‘Digital Kids’) ‘Transdemos’ (presentation of works in progress with direct feedback to public and professional designers) or, other activities likely to bring together, in the unifying spirit that drives Transcultures, various cultural partners as well as scientific, social, educational … communities, individuals and singularities while provoking a real encounter with supported creators who benefit from qualitative insights and can possibly, also for the sake of accompaniment to the dissemination of projects, find ” other development opportunities in Belgium and abroad.
These seventh edition of Transnumeriques, this time in the province of Hainaut (Belgium), questions the digital images/icons – notably via modes of artistic re-appropriation and poetic diversions – which are now proliferating, which have become, via our small and large prosthetic screens, our daily environment and which nourish – or, it depends, colonize – our mental landscapes.