Humanité augmentée et Big Data

Extrait du chapitre consacrée à l’intelligence artificielle d’une note sur le numérique adressée à l’attention du cabinet de la Ministre Joëlle Milquet suite à une demande de ce dernier de lui fournir quelques réflexions sur le sujet d’une vision du numérique pour les 10 prochaines années.

L’objectif de ce texte est de poser quelques jalons sur ce que pourrait être cette humanité dite “augmentée”, et d’esquisser les lignes de force de cette dynamique liée à l’IA et au Big Data, qui façonnent déjà, en sourdine, nos sociétés connectées. Une fois ces lignes dessinées, il s’agira aussi de proposer, modestement, quelques pistes de réflexion et d’action pour les décideurs publics, afin qu’ils puissent anticiper, encadrer, voire orienter ces mutations plutôt que de les subir.

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Sans entrer dans le débat, il est tout de même intéressant de noter que le terme anglais “intelligence”, tel qu’utilisé dans “Artificial Intelligence”, ne recouvre pas exactement la même notion qu’en français. En anglais, “intelligence” renvoie davantage à des capacités logiques, analytiques ou de traitement de l’information, tandis qu’en français, le mot reste largement associé à une intelligence humaine, consciente et réflexive. Cette différence, en apparence subtile, pourrait expliquer des visions et des attentes divergentes du public non anglophone. Ce détail terminologique pourrait ainsi éclairer certaines dissonances dans la perception publique et politique de ce que doit – ou ne doit pas – être une “intelligence artificielle” selon qu’on soit anglophone ou francophone.

Fin février 2015, et pour la première fois, un ordinateur a été capable de battre un être humain à plus d’une trentaine de jeux classiques d’Atari (dont le célèbre “Space Invaders”)[i]. Si c’est une première, c’est que l’ordinateur n’avait pas été programmé pour jouer à ces jeux, mais plutôt pour apprendre seul à y jouer. Apprendre à apprendre a toujours été le Saint Graal de l’informatique, et les avancées des dernières années se sont révélées exponentielles. La recherche sur l’intelligence “artificielle” ne peut créer qu’une espèce de cercle où chaque découverte facilite les suivantes. Et c’est bien ce qui inquiète certaines personnalités du monde scientifique, comme le très médiatique physicien Stephen Hawking, qui parle même de “menace pour l’espèce humaine”[ii]. Des chercheurs de l’université de Cambridge placent même aujourd’hui l’intelligence artificielle comme l’un des quatre facteurs “d’apocalypse”, au même titre que le réchauffement climatique[iii].

Le problème que l’homme a jusqu’à présent rencontré dans l’élaboration d’une Intelligence Artificielle dite “forte” (AIG)[iv] est, outre les limites matérielles (la puissance de calcul nécessaire), le fait qu’il doive lui-même développer et programmer les logiciels susceptibles de faire émerger une telle intelligence. Or, aucun cerveau sur Terre n’a encore été capable de décrire avec précision les mécanismes qu’il mobilise pour atteindre ses propres fonctions. La connaissance du fonctionnement du cerveau humain reste balbutiante, non modélisable. Nous savons accomplir certaines tâches, mais ignorons le plus souvent par quels chemins nous y parvenons. Même si nous devions atteindre, dans les prochaines années, une puissance de calcul comparable à celle du cerveau humain, nous ne saurions toujours pas quels types de logiciels concevoir pour exploiter une telle capacité.

Mais si l’intelligence artificielle venait à franchir réellement le seuil de l’auto-apprentissage et donc d’une certaine “créativité” (et tout porte à croire que ça va être le cas), il se pourrait alors que la machine prenne le relais et développe une forme d’intelligence qui lui serait propre. Resterait alors à savoir s’il ne s’agit que d’une imitation sophistiquée de nos processus mentaux ou d’une autonomie véritable. Dans les deux cas, une telle IA pourrait commencer à produire de la connaissance et de la culture à un rythme exponentiel, dépassant rapidement, en volume, la production humaine, jusqu’à générer des récurrences, des automatismes ou des redondances que l’on pourrait comparer à une forme de plagiat algorithmique.

Elle pourrait également devenir progressivement impénétrable à l’esprit humain, et donc potentiellement incontrôlable. De telles perspectives, si elles relèvent encore de la prospective, posent déjà des questions fondamentales sur les limites de la maîtrise humaine dans la conception et la supervision des artefacts techniques qu’il conçoit pour prolonger ses fonctions cognitives.

La technicité a envahi nos vies et structuré nos manières d’agir, de penser, d’échanger, sans nous laisser le temps de la penser / pensée. Si les sciences sociales ont souvent été en posture critique face aux technologies, elles doivent désormais composer avec un rythme d’évolution qui réduit drastiquement le délai entre l’apparition d’une technologie et son adoption massive, délai qui constituait jusqu’ici une condition nécessaire à leur exercice analytique. Identifier les objets, en circonscrire les effets, trouver les questions des réponses à apporter : tout cela exige le temps long de la réflexion et de l’analyse.

Cette asynchronie a des conséquences politiques : les discours les plus visibles sont souvent soit dithyrambiques, soit apocalyptiques. Entre ceux qui promettent un avenir radieux et ceux qui alertent sur une catastrophe imminente, la complexité réelle du présent se perd. Il est donc essentiel de développer des espaces intermédiaires d’analyse, de délibération et de formation. Cela suppose une attention soutenue à la médiation et à l’éducation, non comme simples outils de vulgarisation, mais comme moyens de réappropriation critique des transformations en cours.

Sans même parler de créativité comparable à celle de l’être humain ou d’une AIG en tant que telle, les technologies liées à l’intelligence artificielle se sont déjà immiscées dans notre quotidien. Les assistants personnels se multiplient, filtrant ce que nous sommes censés aimer voir, écouter, lire, ou même qui nous devrions rencontrer. Nos interactions sociales sont modulées, nos choix culturels orientés, nos comportements anticipés. L’état de santé de nos corps est analysé en continu, et les premiers contrats d’assurance conditionnés à cette surveillance sont déjà en place.

La réalité augmentée s’insinue à la périphérie de notre perception, à travers objets connectés et interfaces immersives. Dans certains cas, des systèmes algorithmiques participent même aux prises de décision stratégiques au sein d’organisations. Ces dispositifs s’imposent progressivement, sans qu’on en ait pleinement identifié les logiques d’action ni les conséquences structurelles. Ce qui est en jeu n’est pas tant une délégation visible qu’une accoutumance diffuse à une ingérence opaque.

Que ça soit pour des questions éthiques, sécuritaires ou pour les répercussions concrètes qu’elle aura dans nos vies de tous les jours, tout nous laisse croire que l’humanité « augmentée » par l’intelligence artificielle sera un enjeu majeur de ces 10 prochaines années.

Avec le Mundaneum et d’autres partenaires, Transcultures a lancé en 2014 la Big Data Week Wallonia[v]. Le sujet nous intéresse donc particulièrement, mais il est difficile de le survoler ici tant il est vaste. Nous pensons que si la révolution tant annoncée du Big Data est bel et bien proche, elle sera d’abord aux mains des grandes entreprises, tout simplement parce qu’elles seront les seules capables d’accéder à ces masses de données et de les traiter. Prévoir le futur : tel est le Saint Graal du Big Data. Si vous connaissez toutes les données d’un problème posé, et qu’il vous est possible de les traiter une à une, et toutes ensemble, alors vous en connaissez potentiellement toutes les solutions possibles. Et c’est là que l’on rejoint une forme d’intelligence artificielle et d’humanité augmentée.

Il est donc urgent de proposer des cadres clairs et des régulations robustes autour de la collecte, du traitement et de l’usage des données, non pas seulement pour des considérations éthiques, mais également pour des questions de souveraineté : les données vont devenir l’élément indispensable au développement de l’intelligence artificielle, constituant à la fois son carburant, son cadre de modélisation et la matière première de ses futurs usages

Nous vous conseillons la lecture du livre de Gilles Babinet : “Big Data, penser l’homme et le monde autrement” aux éditions “Le Passeur”, paru cette année[vi].

J’ai rien fait comme personne

I did nothing like no one else

Cinéma Textuel @ Vice versa #2 (de la recherche à la création numérique)

Première étape du projet qui se donne comme but que la lecture d’un texte dans un microphone déclenche en temps réel un montage vidéo automatique d’une base de données photos et/ou de rushes vidéo. Le résultat est projeté sur un ou plusieurs écrans. Un cinéma qui se lit, ou pour être plus exact, un film qui émerge d’un texte. Le projet final pourra être présenté sous forme de performance audiovisuelle et/ou d’installation.Cette étape de travail se concentre sur un premier montage automatisé lié à la roue des sentiments (du professeur et psychologue américain Robert Plutchik). La présentation de ce travail se fera dans l’installation Reactibox de numediart qui permet aux visiteurs d’intéragir avec l’installation en choisissant des mots-clés à travers la manipulation de cubes posés sur une reactable. Chaque cube représente une classe de mots-clés liés à la roue de Plutchik.

Production : Transcultures avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles (Art numérique) et de numediart
Projet en collaboration avec Pao Paixao (Ch), Stéphane Dupont (Be – institut numediart) et Ariane Loze (Be)

Vice Versa, après-midi de rencontre et de présentation de projets numériques innovants proposée, pour la seconde fois par Transcultures en partenariat avec l’Institut de recherche Numediart (UMONS), convoque à la fois des chercheurs, des créateurs et des responsables de structure à présenter leurs travaux et partager leurs réflexions sur ces enjeux artistico-scientifiques, au public, dans une ambiance conviviale propice au dialogue. Dans le cadre du Festival des Arts Numériques de la Fédération Wallonie-Bruxelles (anciennement, Quinzaine numérique) et de la Quinzaine Numériques Mons.

Installations et projets art/science en cours présentés par numediart, Université Lille 1, Transcultures. Plus de précisions sur cet événement très bientôt.

Voir le programme complet

Vice Versa > Partenariat Transcultures – numediart
Avec le soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles (arts numériques) – Dans les cadre du festival des arts numériques de la Fédération Wallonie Bruxelles et de la Quinzaine Numériques Mons.

Vice Versa is an afternoon of meeting and presentation of innovative digital projects proposed for the second time (in the frame work of the Digital Art Festival of the Federation Wallonia-Brussels) by Transcultures in partnership with the Research Institute Numediart (University of Mons) inviting both researchers, creators and leaders to structure to present their recent/in progress works and to share their thoughts on the artistic-scientific issues to the public in a friendly atmosphere conducive to dialogue + installations, demos by numediart, University Lille 1, Transcultures…).

Marionnettes & Arts Numériques – Table ronde

Pour un développement des interactions entre Arts de la Marionnette et Arts du Numérique en Fédération Wallonie-Bruxelles

L’apparition des nouvelles technologies puis du numérique a transformé la notion même de manipulation, le rapport à jeu, à l’espace et à l’objet marionnette. Les technologies numériques sont venues démultiplier les outils du metteur en scène-marionnettiste au service des dramaturgies et des écritures du plateau.

Fort de vouloir faire de la Fédération Wallonie-Bruxelles un territoire marionnettique de pointe dans le développement d’échanges et d’interactions entre arts de la marionnette et arts du numérique, le Centre de la Marionnette profite du festival pour réunir la profession autour de plusieurs institutions spécialisées dans les cultures numérique.

A travers cette rencontre et grâce aux témoignages des intervenants invités, il s’agit d’échanger et de définir les besoins et les envies puis d’établir des pistes de réflexions pour la mise en place d’éventuels dispositifs transectoriels.

A la table ronde : Anne Huybrechts, (Ministère de la Fédération Wallonie-Bruxelle, Cellule arts numériques) Jacques Urbanska (Transcultures), Caroline Prévinaire (Artiste)…

*visuel : Tanukis > François Zajéga

– GifWall Francoise Gamma @ Voix de femmes #12

Dans le cadre du festival Voix de Femmes #12 mettant à l’honneur la création féminine contemporaine dans trois villes belges, et du Festival d’Art Numérique 2015 de la Fédération Wallonie Bruxelles, Transcultures présente une séries d’œuvres de l’artiste Françoise Gamma.

Françoise Gamma, artiste énigmatique du célèbre et non moins énigmatique Computers Club, Françoise Gamma a toujours été discrète, économe… A l’inverse de certains Net artists qui utilisent le Web et les réseaux sociaux pour amplifier l’écho de leur voix, elle semble user avec parcimonie de la matière et ne rajoute que très peu d’elle. Quelques pixels tout au plus. Le minimum vital. Ces dernières années, elle donne même l’impression de s’être faite plus insaisissable encore. Et pourtant, il suffit d’une simple recherche pour voir que son œuvre continue de vivre, de se partager et de se propager sur la toile, tout en étant régulièrement exposée dans des musées et projets internationaux sur les nouveaux médias.

Ses personnages-avatars nous parlent de tout ce qui est hors image, clichés, émotions que l’on colle si facilement sur eux, éternité d’un moment présent sans passé et sans futur. Elle crée un monde complexe, organique et cybernétique à la fois, un instantané de post-humanité en mouvement perpétuel arrêté.

Pour son exposition dans le cadre de SPAMM-SuPer Art Modern Museum, on pouvait lire : « Et au vu de la grâce des corps distendus, tordus, segmentés et défiant toutes les lois de la physique, qui se délient sous nos yeux, croquis ratés d’un nouveau type de jeux vidéos… cette jeune femme renouvelle non seulement l’art du dessin, mais aussi celui de la représentation… »

As part of the Festival Voix de Femmes showcasing contemporary feminine creation in three Belgian cities, Transcultures presents works of the digital artist Françoise Gamma. The festival also presenting the installation, Spectrales, by Montreal artist Alice Jarry who is in residence at Transcultures

Enigmatic artist of the famous and no less enigmatic Computers Club, Francoise Gamma has always been discreet, thrifty … Unlike some Net artists who use the web and social networks to amplify the echo of their voices, she seems to use it sparingly of matter and adds only very little of herself. Some pixels at most. Just what’s necessary. In recent years, she gives the impression of having made herself even more elusive. And yet, just a simple search is needed to see that her work continues to live, share and spread on the net, while being regularly exhibited in museums and international projects on new media.

Her characters-avatars speak of everything that is out of sight, clichés, emotions that we so easily glue on them, eternity of a moment without a past and without future. She creates a complex, organic and cybernetic world all at once, a snapshot of post-humanity in stopped perpetual motion.

For her exhibition in the framework of SPAMM-SuPer Modern Art Museum, one read: “And the light of grace distended bodies, twisted, segmented and defying all laws of physics, which are loosened before our eyes, bad drawings of a new type of video games … this young woman not only renews the art of drawing, but also that of representation … “.

Le Centre culturel du Brabant wallon recrute un(e) animateur(trice) multimédia

L’animateur(trice) multimédia participe à des programmes d’actions afin de mettre en œuvre les finalités du Centre culturel du Brabant wallon (CCBW) selon les politiques définies dans son Contrat- programme. Ce dernier s’inscrit dans les prérogatives du nouveau décret de reconnaissance des centres culturels (novembre 2013) visant à renforcer les populations dans l’exercice de leurs droits culturels par, pour et avec tous. Aussi, il inscrit son travail dans une perspective de démocratie culturelle et dans une logique de travail en partenariat.

Par la spécificité de ses compétences, l’animateur(trice) enrichit, par l’utilisation des nouvelles technologies, les actions culturelles proposées par le CCBW. L’apport des nouvelles technologies devant se comprendre comme moyen de créer un dialogue avec et entre les populations du Brabant wallon, comme outil de médiation ou encore comme procédé artistique.

Il(elle) assure ses fonctions sous la responsabilité de son coordinateur. Il(elle) a un rôle d’organisateur(trice), responsable de projets, mais aussi de conseiller(ère). Il(elle) veille à harmoniser ses actions avec l’ensemble de l’équipe du CCBW et des partenaires impliqués dans le projet.

Il(elle) assure la mise en place de la structure et des moyens nécessaires à la réalisation du projet dont il(elle) évalue les résultats pour réajuster les méthodes.

N’hésitez pas à me demander plus d’info ou regardez directement le lien.

Call for projects – Interactive Installation – Videographies Transnumeriques 2015

Vidéographies (diffusion & promotion des arts vidéo et numériques) et Transcultures (Centre des cultures numériques & sonores) lancent un nouvel appel à projets pour une installation interactive (arts numériques, multimédia , media art, net art, bio art…) qui sera exposée dans le cadre des Transnumeriques 2015, biennale des cultures et émergences numériques initiée et coordonnée par Transcultures, événement partenaire de Mons2015, Capitale européenne de la Culture.

Vidéographies (promotion of video and digital arts based in Liège, Belgium) and Transcultures (Centre & Digital sound cultures based in Mons, Belgium) are launching a new call for proposals for an interactive installation (digital arts, multimedia, media art, net art, bio art, …) which will be on display as part of the Transnumériques 2015, biennial of digital cultures & emergences initiated and coordinated by Transcultures, partner event of Mons2015, European Capital of Culture.

Deadline : 15 octobre 2015

 

Quinzaine des arts du futur – phAUTOmaton de Philippe Boisnard (curation)

Dans le cadre de la Quinzaine des arts du futur (Maison Folie Beaulieu) et de Renaissance (Lille3000), Transcultures (commissaire artistique : Jacques Urbanska) présente phAUTOmaton, une oeuvre participative de l’artiste numérique et concepteur multimédia français Philippe Boisnard. qui peut être installée dans n’importe quel lieu ou pour n’importe quel événement.

Le public est invité à écrire un mot ou bien une phrase, une fois celle-ci tapée et validée, elle constitue, en temps réel, le portrait de chaque participant. Celui-ci, après avoir choisi sa pose et sa phrase, valide une deuxième fois et la photographie texturée est prise. En temps réel, la photographie apparaît sur un site internet qui est dédié à l’événement. Ce site, qui est présenté comme une sorte de galerie photographique, met en évidence en quel sens les visages et les pensées sont reliées dans une forme de communauté de visage.

Lire Philippe Boisnard métaphysique des flux sur Digitalarti

As part of la Quinzaine des arts du futur (Maison Folie Beaulieu) and Renaissance (Lille3000), Jacques Urbanska (curator for Transcultures) presents ‘phAUTOmaton’, a work by French media artist/developper Philippe Boisnard.

‘phAUTOmaton’ is a participatory work that can be installed in any location or any event . The public is invited to write a word or a phrase , once it typed and validated , it provides real-time picture of each participant. The latter, after choosing his pose and his sentence validates a second time and the textured image is shot. In real time, the photograph appears on a website that is dedicated to the event. This site , which is presented as a kind of photographic gallery, highlights the sense in which the faces and thoughts are connected in a face shape community.

Article sur la vidéo dans le Turbulences video #89 (octobre 2015)

Pour cette édition d’octobre 2015, Turbulences Video, la revue trimestrielle du festival Videoformes à réaliser un dossier spécial Transcultures avec un interview croisée Gabriel Soucheyre/Philippe Franck, les deux directeurs ; un article de Philippe Baudelot : Transcultures, porter et partager les cultures numériques ; City Sonic@Mons2015, expériences d’écoute urbaine. une interview de Philippe Franck, recueillie par Émilien Baudelot et un article de Jacques Urbanska : De la place de la performance dans l’art vidéo qui reprend également une longue deuxième partie : Performances, vidéo et cultures digitales au sein de Transcultures…

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